Sur la petite île d’Hawaii la vie n’est pas aussi tranquille qu’elle n’y parait ... En effet entre deux séances de surfs et promenades sur la plage le crime fait rage ... Comme partout me direz-vous ! C’est une des raisons pour laquelle une unité de force spéciale a été créée il y a plusieurs années de cela. Cette unité spéciale se fit nommer Hawaii Five-0, ils réussirent mission sur mission personne ne leur connaissait d’échec ! Mais vint le jour ou ils durent arrêter, pourquoi ? La jeunesse n’est pas éternelle que croyez vous, il y eu donc une sorte de casting parmi tous les flics de l’île afin de trouver la relève. Ce ne fut pas chose facile, et le gouverneur dû laisser l’idée de cette unité spéciale de côté le temps de trouver les personnes idéales ... Mais aujourd’hui l’unité à repris du service, les criminels n’ont qu’à bien se tenir, entre la HPD et la nouvelle Hawaii Five-0, nommée Kamaniha, ils sont bien cernés !!! Serez vous un simple habitant, un bon flic, un flic ripoux ou un membre de cette unité si spéciale ?

Les titres principaux de la presse du Pays-De-Galles étaient tous semblables ce matin là. Quand à ceux à l'échelle internationale l'annonce fût plus tardive. C'est ainsi que les habitants de Daisy Town se remémorèrent le drame de la veille qui avait bouleversé leur vie.

"Le calme, la sérénité, la tranquillité. Ce sont les sentiments que ressentent la plupart des habitants de Daisy Town, une petite ville. Ici, tout le monde se connaît depuis sa plus tendre enfance. Tout le monde se rejoint à des évènements culturels organisés par le maire. Les jeunes femmes prennent plaisir à aller au bal, tandis que les hommes préfèrent aller au bar. Les enfants aiment se retrouver au parc pour jouer, sans oublier les seniors qui prennent grand plaisir à jouer aux échecs. Enfin, cela, c'était avant. En ce 10 Juillet 2010, une fête traditionnelle de la ville fut perturbée par un grave incendie. Énormément de personnes présentes périrent, mais il en fût de même pour les personnes travaillant dans les boutiques les plus proches du lieu du drame. Quelques personnes furent chanceuse, et furent seulement blessées. Malgré une longue enquête, les policiers ne déterminèrent pas l'origine de l'incendie. Pour eux, c'était accidentel, tout simplement. L'enquête fût ainsi close."

La lecture de cet article fit sourire certaines personnes qui restèrent suspicieuses. Pour elles, le maire avait tout fait pour cacher l'origine criminelle de l'incendie, pour que l'image de cette petite ville tranquille ne soit pas ternie. En effet, depuis de nombreuses années, des étrangers s'installent à Daisy Town, dans l’infime espoir de retrouver la tranquillité et la paix, et de fonder une famille. A côté d'eux, il y a les habitants, qui vivent ici depuis leur plus tendre enfance. Certains essaient de retrouver le sourire après ce terrible drame. D'autres doivent accepter la mort de leurs proches, d'autres doivent remonter la pente financièrement, ou restent traumatisés par les flammes et la chaleur. Deux années se sont écoulées depuis cet évènement. Seulement voilà, les images et les traumatises sont toujours présents.

Et vous, qui serez-vous ? Un étranger recherchant la paix, malgré le drame étant survenu dans cette petite ville du Pays-De-Galles, ou bien incarnerez-vous un habitant de Daisy Town à la recherche d'un avenir meilleur ?

Aujourd’hui, alors j’écoutais les histoires que me lit Lorina dans le jardin, mère est venue m’apporter un joli petit paquet rose qui était maintenu fermé par un ruban à poids. Je lui ai fait remarquer que ça n’était pas mon anniversaire, mais elle s’est contentée de hausser les épaules en m’annonçant que ça n’était pas un présent de sa part, mais qu’un coursier l’avait déposé. Ça m’a semblé étrange, juste un instant. Un tout petit instant. Mais Lorina et moi étions bien trop curieuses alors nous avons ouvert le paquet.
Quelle fut notre surprise quand nous avons découvert à l’intérieur de la boîte une petite clef et une minuscule montre à gousset reliées par une petite chaine qui reposait sur un petit coussin de velours rose. C’était si joli à regarder que je n’ai pas osé y toucher et j’ai immédiatement refermé la boîte. Lorina en a été extrêmement fâchée et elle m’a presque ordonné de lui prêter mon étrange collier pour aller avec sa jolie robe de mousseline crème.
Mais j’ai refusé… Fermement.


Depuis que j’ai reçu cette petite boîte, elle m’obsède, je me lève durant la nuit pour regarder dans la boîte, je caresse le collier du bout du doigt et je me dis que je devrais peut être le porter. Je ne comprends pas d’où me vient cette obsession. Mais plus j’y pense et plus je me dis que ce collier est un cadeau empoisonné.


Ce n’est pas juste. Pourquoi Alice a-t-elle reçu un cadeau aussi joli ? Et moi ? Pourquoi n’ai-je rien ?! J’ai passé la journée sur la première marche des escaliers à attendre que ce maudit coursier ne m’apporte mon cadeau. Mais rien. Rien du tout. C’est toujours pareil, tout est toujours par Alice, on lui pardonne toujours tout, et elle a toujours les choses les plus intéressante ! Je ne suis pas d’accord. J’en ai assez ! J’aurais ce collier. Je l’aurais.
Et si Alice refuse encore de me le donner alors je le lui prendrais de force, je le lui volerais, et je le cacherais. Je le veux. Je l’aurais… Par tous les moyens !

C'est terrible! Lorina a disparu. Ma boîte aussi!
J'ai cru la voir cette nuit rentrer dans ma chambre et fouiller le tiroir de ma table de nuit. Je pensais avoir rêver, parce que ma sœur, celle que je connais, ne ferait jamais ça. Jamais. Pourtant je me demande s'il s'agissait vraiment d'un rêve.
Je l'ai vu. Oui, je l'ai vu, passer le collier, et avancer vers le miroir. J'ai cligner des yeux, puis elle n'était plus là.
Mais ça n'est pas possible, n'est ce pas?! Ce n'est pas possible de passer au travers d'un miroir sans le briser. Ça ne pouvait être qu'un rêve... Et pourtant Lorina n'est plus là... Et mon collier non plus.
C'est terrible!

La silhouette d'un autre écrivain en herbe nous attend au croisement de la prochaine rue, sous le lampadaire. La jour se lèvera bientôt, mais tout demeure ou noir ou gris pour l'instant. La silhouette et sa valise en faux cuir embarquent avec nous. Le chauffeur redémarre, son paquet de tortillas à la main. Lui aussi est écrivain. Nous le sommes tous, presque tous. Mr. Whittier et Mme Clark sont les deux seules exceptions. Nos bourreaux. Ce sont eux. L'un sur sa chaise roulante chromée, qu'il caresse du bout de l'index – un vulgaire os entouré de viande rouge et tachée. Il est vieux. L'autre caresse sa poitrine refaite comme d'autres le font derrière avec leur chat ou leur bague. Nous sommes tous là pour la même chose. S'éloigner du monde. Trois mois. C'est ce que promettait l'annonce.
Ladite annonce avait été placardée partout. Dans les cafés, les toilettes publiques, du les murs, les arrêts de bus, les panneaux d'affichages. Elle disait :
RETRAITE D'ECRIVAINS :
METTEZ VOTRE VIE DE CÔTE PENDANT TROIS MOIS
En allez-vous. Abandonnez vos obligations. Oubliez votre boulot, votre famille, vos amis. Tout ce qui faisait votre vie. Vivez pendant trois mois dans un environnement propice à l'écriture. Au travail. Offrez-vous un avenir en tant que poète, scénariste, dramaturge, romancier. N'hésitez pas. Nombre de places très limité.

«Croyez-vous en la famille parfaite? Plusieurs y croyaient, jusqu’à ce que monsieur Ben Henderson, voisin et ami idéal, ne fasse la une du téléjournal de vingt et une heure… Le sujet de cette belle première? Trois meurtres, suivis d’un suicide. Les victimes? Sa femme ainsi que leurs deux enfants, découverts par la doyenne du quartier, madame Miranda VanderApple. Le 30 septembre dernier restera donc à jamais gravé dans la mémoire des habitants d’Azalea Valley, un quartier de Fairview dans l’Eagle State, qui croyaient pourtant connaitre à merveille la petite famille.»

Bienvenue à Azalea Valley, un petit quartier bon, chic, bon genre où il fait bon vivre. On y retrouve trois grandes rues, formant une fourche donnant sur une impasse. Avoisinante à la ville de Fairview, Azalea Valley est juste assez retirée pour offrir à ses citoyens, lacs, parcs et forêts tranquilles. Apple Blossom, Gardenia et Orchid Streets, trois charmantes rues où le rêve américain est parfaitement exploité.

Bien que les voisins viennent et partent, pour cette communauté, l’accueil est primordial, il n’est pas rare de voir défiler une tarte ou un pot-pourri de composition personnelle chez les nouveaux venus. L’ambiance y est très chaleureuse et conviviale, des activités sont régulièrement organisées par les habitants du quartier, qui aiment s’impliquer et se faire connaitre. Évidemment cela ne les empêchent pas d’avoir des secrets bien enfouit, qu’ils souhaiteraient garder à jamais cachés…après tout, hormis ces sourires et ces bonjours, connaissons-nous vraiment nos voisins?

Assurez vous de faire des erreurs, en faire beaucoup, parce qu’il n’y a pas meilleur moyen pour apprendre et grandir. Apprendre a grandir, faire face a ses responsabilités. C’est ce que chaque personnes essaye de faire. Qu’on soit à New York ou à l’autre bout de la planète. On apprend à grandir en fonction des épreuves que nous traversons. La vie est belle quoi qu’il arrive. Quoi qu’il arrive on doit tous avancer même si ça fait mal ... Aller vers l’inconnu n’est-elle pas la plus grande peur de tous, surement est-ce aussi la plus grande aventure de chaque personne de voir que l’on peut se dépasser et être bien meilleur et l’on se surprend nous-même ou au contraire tomber dans le néant et souffrir d’être le seul à ne pas avoir ce que l’on veut. Qu’importe ce que l’on affronte repousserez vous vos limites ou préférerez-vous faire demi-tour et rebrousser chemin ? Prendre un risque, ou pas ? Saurez-vous vivre avec des remords ? On le sait très bien vaut mieux vivre avec des regrets que des remords

Saviez-vous qu’une fée ne pouvait ressentir qu’une seule émotion à la fois ? Qu’elle soit en colère, et il n’y aura aucune place pour les remords, qu’elle soit triste, et aucuns espoirs ne viendra égailler son cœur. Ainsi, depuis des années, des siècles – comment le savoir, le temps ne passe pas sur cette île merveilleuse - Neverland subit les sautes d’humeur de la petite Fée Clochette. Que Clochette soit déprimée, et Neverland entier se retrouve sous une pluie abondante. Que Clochette soit d’une humeur massacrante et le tonnerre grondera au dessus des flots tumultueux. La seule personne de l’île à pouvoir raisonner la petite Fée est Peter Pan. Peter Pan est le premier petit garçon à avoir atterri sur l’île, il y a tellement longtemps que plus personne ne s’en souvient. Il devient rapidement le chef des Enfants Perdus, lorsque ceux-ci se bousculèrent sur l’île, venant d’on ne savait où ! Dès lors, les Indiens de l’île, également nommés Peaux Rouges, se firent un devoir de chassés ces individus à la peau pâle. Les sirènes de la Baie, quant à elles, préfèrent restées dans leur coin, mélancoliques et pacifiques. Enfin, jusqu’à ce que le bateau du Captain James Hook fasse escale à Neverland. Non seulement cette bande d’infâmes pirates s’en prirent aux sirènes, mais ils s’engagèrent également dans une guerre sans merci contre les Indiens. Les Enfants Perdus ne pouvaient décemment pas laisser leurs ennemis préférés se faire massacrés par les Pirates. S’en suivit une lutte incessante entre mer et terre...